j'ai pas, mais alors pas du tout la frite !
Me suis péniblement endormie hier "soir" à 2h30 du matin, usée par le "cortizone effect" , tout ça pour émerger largement avant que mon réveil ne sonne ........... à 5h30 du mat.
Pas envie de me lever je traine autant que je peux
La journée se passe avec une grosse lassitude et l'estomac ramoné. "Les antibiotiques, c'est pas fantastique !".
J'ai les oreilles qui bourdonnent, l'impression d'être effouflées, des nausées et vertiges qui me donnent l'impression d'être sur un bateau en pleine mer ! *Buuurp ! Des chauds et froids
Mon chef me trouve bien silencieuse et je n'avance pas comme je veux dans mon travail. En plus j'ai peur de faire des bêtises.
Vers 16h, ça va vraiment pas mieux. 18h, ça suffit, je rentre à la maison, j'en ai marre.
J'ai des crises de crampes de la tête au pieds ! Cela fait super mal et me gène pour avancer. Je me traine comme une petit vieille.
Vive l'autosuggestion, ça fait avancer dans les transports en commun. Et merci à la gentille personne qui m'a fait assoir en vitesse constatant que j'étais doucement en train de m'écrouler "dans les pommes"
Pipi express sur le gazon en bas de l'immeuble, c'est Bichette qui me fait avancer en tirant sur sa laisse. Là elle machouille gentilment son os en peau de buffle.
Moi j'ai un énorme bol de pattes dans l'estomac mais je suis HS allongée sur le canapé. J'attends que ça aille un peu mieux pour regagner mon lit. Et si ça ne va pas mieux et bien je dormirais sur place, ça sera toujours mieux que sur le parquet du couloir !!
En attendant j'ai un gros coup de blues qui monte en même temps que la fatigue.
j'suis épuisée !! Et les larmes qui viennent je ne sais comment me font penser que j'aurai tant aimée ce soir rentrer à la maison et y trouver un chéri qui m'aurait dit dans un sourire "j'suis là mon coeur, repose toi sur moi, je t'aime"
Mais non, y'a personne. Et le petit soldat est épuisé et en a ras le bol. J'veux dormir et me faire chouchouter. Qu'on pense un peu à moi et ne pas me retourner pour m'apercevoir que je suis toute seule ....
Cela ira sûrement mieux demain, mais là ... j'suis "naze" ... physiquement ... et moralement .... complètement naze !